Dossier de presse
Presse
france culture
Novembre 2016
“Johanna Nizard porte magnifiquement le texte. Le cliché donne ici de la chair et Othello Vilgard fait un travail très sobre. Le spectacle est tendu d'un bout à l'autre.”
Arnaud Laporte (France Culture - la Dispute)
“C'est un spectacle qui m'a plu et qui me reste. Johanna Nizard est absolument remarquable. le spectacle est d'une justesse et d'une vérité assez étonnante. La comédienne est tout à fait remarquable, c'est un rôle extrêmement délicat à interpréter (...) et Johanna Nizard y est remarquable et très intelligente car elle assume totalement la nature de son personnage. On part de clichés divers, et petit à petit, le texte donne de l'épaisseur et du relief à ce personnage. C'est très réussi. Laurent Mauvignier part d'un cliché pour raconter un type de femme, que l'on connait tous, afin de lui donner de la chair. En une heure, il y a un schéma familial qui apparait peu à peu, qui se dessine devant nous et qui est très intéressant.”
Anna Sigalevitch (France Culture - la Dispute)
“L'actrice est extrêmement sincère et vraiment présente, bravo à elle.”
Corinne Rondeau (France Culture - la Dispute)
Laurent Mauvignier était l’invité d’Olivia Gesbert dans l’émission La Grande Table.
Olivia Gesbert (France Culture – La grande table)
france 5 - entrée libre
Novembre 2016
Laurent Mauvignier était l’invité de Claire Chazal dans l’émission “Entrée libre”.
Claire Chazal (France 5 – Entrée Libre)
REVUE DE PRESSE
Novembre 2016
« Johanna Nizard possède une grâce singulière, une présence, une voix, un souffle, qui séduisent et bouleversent. »
Armelle Héliot (Figaroscope)
Johanna Nizard fait des merveilles en control freak qui se laisse progressivement aller aux confidences. Amazone à la dérive, la comédienne, solidement dirigée par Othello Vilgard, tient la pièce sur ses épaules. À découvrir pour sa performance.
Hier au Théâtre
Il ne fallait pas moins que l’immense talent de cette comédienne pour tenir sur la longueur un texte aussi dense, percutant, incisif, intense. L’étendue de sa palette, la finesse et la sensibilité de son jeu lui permettent d’interpréter cette partition brillante, étoffée, éclatante. Othello Vilgard retrouve ici Johanna Nizard (…) il lui fait occuper tout l’espace, telle une lionne en cage. Une cage qui aurait des allures de ring de boxe, tant la puissance qu’elle dégage nous fait l’effet de véritables uppercuts.
Sabine Aznar (Pianopanier.com)
Johanna Nizard se lâche, se jette à l’eau et envoie la solitude de son personnage à la figure du public (…) Elle a du tempérament et transmet ses émotions. Elle est sincère et endiablée.
Stéphane Capron (Sceneweb)
Le texte donne à entendre avec force les nuances du désamour et de la violence.
Chloé Brendlé (Le matricule des anges)
L’actrice porte les mots de cette femme avec incandescence. Johanna Nizard porte ce faux monologue avec la superbe et l’élégance d’une grande actrice, dans une maîtrise totale de ce que l’on maîtrise le moins : l’amour, les blessures narcissiques, l’abandon, le sexe, l’argent. Physique, le corps ancré dans une chorégraphie chaloupée, la comédienne nous invite à un drôle de voyage (…). C’est une remarquable performance que de porter un tel texte à ce niveau d’exigence et d’incandescence. Les spectateurs s’en trouvent bouleversés.
Hélène Kuttner (Artistik Rezo)
Un seul en scène poignant d’après un texte qui l'est tout autant de Laurent Mauvignier. Ces questionnements d’une femme, assez seule, qui se raconte, dit ses rapports complexes aux hommes, ses rêves, ses angoisses, ses dégoûts, l’auteur l’a écrit pour Johanna Nizard, la comédienne qui l’interprète magistralement.
Causette
Identification d’une femme. L’actrice Johanna Nizard et l’écrivain Laurent Mauvignier sont de vieux complices. Temps suspendu d’avant les retrouvailles, où elle parle en vrac et sans pudeur.
DR (Madame Figaro)
Johanna Nizard accapare l’espace de la scène et l’attention du spectateur dans la salle, dansant, faisant des exercices de gymnastique, s’arrêtant, s’autorisant une pause pour s’activer fébrilement, mettant la table, choisissant nappe et couverts. Bouquet de roses jaunes et nappe noire, l’effet festif est réussi, et on se doute que la nappe et les fleurs changent de couleur, suivant la succession des soirées et les paroles choisies de l’interprète. Celle-ci est loquace et amusée, elle enchante le public, et il faudra attendre le dernier temps de la représentation pour prendre la mesure de la blessure qui a fait tant souffrir cette figure féminine en phase avec la dureté de nos temps, reléguée dans le secret odieux d’un mystère de petite fille.
Véronique Hotte (hottello)
C’est en effet un choc (…) Cette pièce, où Laurent Mauvignier ajoute à sa galerie de femmes fortes et cassées (…) est aussi explosive qu’une bombe à retardement glissée sous un napperon. On peut donc la lire, mais la voir mise en scène par Othello Vilgard c’est encore autre chose. La comédienne au physique de renarde et à la voix cuivrée qui l’interprète est bluffante. (…) C’est une tornade. Elle ose tout. Raffinée et bravache, élégante et nue, Louboutin et Converse, elle est à la fois légère et blessée. Le titre de la pièce, elle fait mieux que l’incarner, elle le corrobore. Croyez-moi, on n’a pas fini d’entendre parler de Johanna Nizard.
Jérôme Garcin (L’Obs. – Humeur)
Contact :
Pour contacter directement Laurent Mauvignier, on peut envoyer un courriel aux Éditions de Minuit, à : presse@leseditionsdeminuit.fr qui feront suivre. Ou par voie postale : Laurent Mauvignier, les Éditions de Minuit, 7, rue Bernard-Palissy 75006 PARIS.
Agent : Isabelle de la Patelière - UBBA - 3, rue de Turbigo, 75001 PARIS - info@ubba.eu
Archives :
On peut trouver à la disposition des chercheurs un fonds Mauvignier à la Bibliothèque Jacques Doucet des Universités de Paris. bljd.sorbonne.fr